Weekend à Hua Hin

Publié le par Francky

Hua Hin, petite bourgade d'une cinqantaine de milliers d'habitants, aété le théâtre d'un weekend festif et improvisé.

Parti le vendredi sur les coups de 20h20 dans un bus d'Etat (mais assez obsolète), nous voici mes 7 compagnons (Sanaa, Béatrice, Lori, Juan, Séverin, Seb et Max rencontrés la plupart le weekend précédent... ou le jour même) et moi-même partis pour 2h30 de routes à vive allure. Sur une route jonchée de nids de poules, le voyage ne fut de tout repos même si ce fut plus calme que le retour.
   
Nous voici arrivés à Hua Hin. Se dirigeant dans notre auberge de jeunesse, à 7€ la nuit, la chambre (donc 7€ d'hôtel pour le weekend), je dois vous avoué que je m'attendais à quelques choses de plus rudimentaire. Certes, ce n'était pas le grand luxe, mais cette guest house avait un certain charme (ancienne maison de pêcheur) et nous disposions de nos "salles de bain" individuelles. L'absence de clim fut peut être le plus gros "problème"... avec les moustiques.




Affaires entreposées à la Guest House, nous filons en ville, où les bars se multiplient  dans les petites rues de Hua Hin. D'ailleurs, j'ai tout de suite pensé à la fameuse blague de Lolo (mon coloc de 3 années montpelliéraines pour ceux qui n'ont pas été présentés), qui dirait: "on va au Apute???" (cf. Nostalgique à 23 ans, de Laurent Moreau >> Lolo, c'est là où tu dois faire lapub de ton blog dans les comments). Vous aurez compris la boutade: le bar Apute !!!

En dépit de ce folklore local, où les filles n'hésitent pas à nous aborder, nous trouvons un bar vierge de toutes "bitches" (ce ne sont pas toujours des "femmes", au vu de la pomme d'Adam). Les destinations touristiques en Thailande sont aussi très prisées par les Kathoï (lady boys).
Bref, l'arrivée de quelques occidentales et occidentaux (farangs en thai) dans un bar attirent vite de nouvelles clientes locales. Outre cet aspect malsain mais drole au demeurant, la chose la plus choquante est de voir des gamines de 7 ou 8 ans venir nous vendre des fleurs dans ces endroits aux odeurs de traquenard... à 2 voir 3h du mat !!! Soi disant pour payer l'école. Mais nous preferons (surtout Sanaa) leur offrir quelques trucs à manger, qui semble les combler. Et puis c'est vrai que c'est peu de choses pour nous, tant pour ces enfants dans le besoin.
Bref, les couleurs locales mélangent malheureusement lady boys effrayants et enfants vendeurs de roses mêmeaprès 3h du mat.

Après quelques parties de billards dans notre bar relativement habrité, nous filons via les trottoirs (quand il y en a...) où se croisent cafards, cafards ou encore cafards. Avec un pit stop au burger du coin, à savoir un étalage rustique mais où le cheesburger est passé comme une lettre à la poste à 2h. D'ailleurs, merci à Juan pour sa participation à la cuisson, ce fut un régal. Nos mets engloutis, rencontre fortuite de Kathoïs ouvertes ànos blagues douteuse.

 

Ensuite, direction la plage pour un bain de minuit. Je peux enfin exploiter toutes les capacités de mon appreil photo submersibles.



Levé difficile le lendemain, direction les éléphants, pour un rapide trekking négocié à la force des neronnes. Concernant les ivoires des éléphants, les responsables du parc se font en revanche plus discrets. Tous les éléphants ne les ont pas...
  

Degustation de lait de coco après ce raid.

Direction un temple (Wat en Thai), au pied duquel nous avons nourris quelques singes... On y trouve le paternel, les mamans et leurs enfants et les élements pertubateurs.

  

Ensuite, direction le temple bouddhiste chinois, où nous profitons d'une jolie vue sur la baie.
  




Puis repas copieux... les photos valent plus que les mots





Et couché de soleil...



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